Avec des températures qu’on n’avait plus vues depuis 30 ans, ce début d’année 2018 bat des records de froid, avec des températures allant jusqu’à -7°
C’est la période où les maisons labellisées Passiv’Haus comme celles construites par CMBB montrent tout leur potentiel : peu de chauffage, et la température intérieure avoisine les 20° ! Dans une maison passive, les habitants servent de chauffage : leur activité et leurs interaction avec l’équipement de la maison permet de maintenir une température agréable. Un chauffage est installé en appoint, pour les longues périodes sans soleil ou lorsque la maison est inoccupée sur une longue période (vacances…)
Si le surcoût initial à la construction faisait encore hésiter, cette vague de froid et la surconsommation de chauffage qui l’accompagne va faire réfléchir plus d’un acheteur. L’économie engendrée par l’utilisation minimale d’un chauffage est considérable, et l’impact sur l’environnement l’est également. La maison passive est donc rapidement rentabilisée, et la qualité de vie y est bien meilleure.
Une construction traditionnelle plus qualitative
Côté extérieur, rien ne distingue votre maison Passiv’Haus d’une autre habitation. Si le nom peut effrayer, la construction est entièrement personnalisable, vous offrant la possibilité de faire construire une maison traditionnelle ou une maison d’architecte plus originale. La différence se joue sur la qualité des matériaux et sur la réflexion qui précède la construction : orientation, positionnement des surfaces vitrées, triple vitrage, VMC double flux … c’est tout un panel de solutions qui ont fait leur preuve qui est ici mis en place pour une construction bien au dessus des normes.
Un concept en plein développement
La maison Passiv’Haus fait parler d’elle dans toute la France. Si le concept, originaire d’Allemagne, était concentré sur la frontière, il s’étend maintenant de plus en plus. Le record d’économie d’énergie en France étant détenu par une maison bretonne. Le concept séduit et gagne aussi les institutions : écoles et bâtiments public passent le pas. Le logement social n’est pas en reste : de plus en plus de bailleurs sociaux vont vers la construction passive avec pour argument de limiter les difficultés de paiement en réduisant les factures énergétiques.
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